Comment le surnom du propriétaire devient le nom officiel de sa maison...
Il y a 100 ans, les visions d'une jeune fille ont attiré des foules à Puylausic.
Dans le cadre du Centenaire, voici le résultat des recherches sur les soldats dont le nom figure sur le monument aux morts.
En 1545, un accord est passé entre le Seigneur de Puylausic et les habitants.
L'école publique, l'école privée des filles au "Couvent", souvenirs et photos
La construction de l'école vers 1900, sur fond d'embrouilles villageoises
L'instruction à Puylausic avant 1900
La place du village reçoit aujourd'hui le nom de place Gilbert LAFFONT, du nom de notre doyen qui s'est éteint en février 2017 à l'âge de 91 ans. Sa vie
durant, il a tenu le café-épicerie du village, fondé par ses grands-parents vers 1890. Il faisait les tournées dans les villages, il était aussi le correspondant du journal La Dépêche. Sa gentillesse était proverbiale. Il aimait à
raconter ses souvenirs de la vie d'autrefois.
Gilbert a offert à la commune le terrain qui est devenu cette place.
La place : les anciens se souviennent que l'espace aujourd'hui vide était occupé par la maison du coiffeur Soubes, le fils du cordonnier.
En 1830, cet emplacement était dominé par le Moulin à vent du Château, érigé en haut du talus.
C'est le nom du chemin qui fait le tour de l'église de Puylausic. Pourquoi ?
Le nom VERDIER est aujourd'hui éteint à Puylausic, mais c'est celui d'une très vieille famille. Plusieurs de ses membres ont compté dans l'histoire du village,
parmi eux :
le curé DOMINIQUE Verdier a fait bâtir l'église actuelle sur un terrain offert par le châtelain DESCAMPS (1758). Il est enterré sous le maître-autel.
Son arrière-arrière-grand-père, JEAN, a réalisé le Cadastre de 1670, une archive encore en possession de la commune.
BERNARD, un fils de Jean, curé, a recopié à la même époque le manuscrit de l'accord, appelé aussi l'Instrument, passé en 1545 entre le Seigneur et les villageois.
Sous la Révolution, PIERRE Verdier a mis en sûreté le « trésor » de l'église (calice, ostensoir...) avant le pillage par une bande venue de Lombez.
AGNES Verdier, mère de Gilbert Laffont, épicière
ANDRE Verdier, 85 ans, cousin de Gilbert, vit en région parisienne. C'est à lui que nous devons une grande partie de ce que nous savons de l'histoire du village. Des recherches
sur sa famille, il a tiré plusieurs nouvelles historiques et toute une documentation consultables à la mairie et ici.
Le saviez-vous ?
Il y a 100 ans, Puylausic est devenu un lieu de pèlerinage ...
Lors de la cérémonie du 11 novembre, les enfants ont lu le texte de commémoration ainsi que le poème "le Dormeur du Val" d'A.Rimbaud.
L'histoire de chacun des sept soldats du village tombés en 1915 a été retracée en quelques mots. Lire
cette histoire.